Vous le savez sans doute, Isuzu a bâti sa notoriété sur quelques fondamentaux très intéressants pour l’utilisateur. En effet, l’offre comporte des produits à la robustesse étonnante, proposés à des prix tout aussi surprenants, en regard de ceux pratiqués par la concurrence.

Le D-Max n’échappe pas à cette règle et nous le vérifions à nouveau en nous rendant chez Chambéry Motors. 

Chez Isuzu, la gamme D-Max est facile à identifier avec trois types de cabines : Single (simple cabine) Space (cabine approfondie) et Crew (double cabine). Un seul moteur diesel 4 cylindres à double turbo de 163 chevaux assure sans mollir toutes les utilisations souhaitées, notamment le transport de charges de plus d’une tonne dans une benne très pratique, ici protégée par un roll-bar métallique, servant de porte échelle.

Un utilitaire rassurant

Sur cette version tournée vers les fonctions utilitaires, la cabine approfondie à deux portes (+ 2 portes antagonistes), laisse une plateforme de benne longue de 1,795 m, on y remarque une grille de protection des feux arrière.

Pour assurer dans les meilleures conditions les transports de charges importantes, la suspension arrière comporte des lames renforcées et les jantes Intimidator de 17 pouces reçoivent des pneus spécifiques :

AT3 Descoverer à 5 nervures, conçus pour le  tout terrain 255/65/17 avec l’indice de charge 110 T (charge de 1 060 kilos à 190 km/h).

Ainsi équipé, le D Max peut affronter tous les types de terrains grâce à sa boîte manuelle à six rapports plus  un réducteur et une transmission 4×4 enclenchable à la demande, des plus performantes.

Grâce à un bon niveau d’équipement, la vie à bord est facile et agréable, même si le véhicule se montre un redoutable auxiliaire de travail.

N’allez pas croire pour autant que la conduite s’apparente à celle d’un camion. Certes, l’engin garde des dimensions imposantes mais  grâce à un train avant, des suspensions et surtout une direction bien conçus, vous voilà –en toute sérénité- au volant d’un véhicule équilibré et rassurant.

Alain Monnot | Photographie : Gilles Vitry