Chez Isuzu, la conception et l’évolution du D-Max ont toujours voulu privilégier le côté fiable, pratique, robuste et efficace, plutôt que la sophistication à tout prix.

Nous trouvons une parfaite illustration de cette philosophie dans le système de transmission du D-Max. Les ingénieurs ont en effet préféré concevoir un différentiel central manuel, dont le fonctionnement et la longévité en milieu difficile ont fait leurs preuves.

L’utilisateur dispose au choix des fonctions 2 ou 4 roues motrices suivant la nature du terrain rencontré. L’opération se fait en tournant une simple molette et l’avantage est de pouvoir le faire en roulant jusqu’à la vitesse de 100 km/h. Dans ce genre de situation lorsqu’on roule en 4 roues motrices, on dispose de rapports de boîte longs (4H).
Une difficulté se présente (pente, terrain difficile, franchissement…) ? Vous arrêtez le D-Max, passez au point mort et tournez la molette pour bénéficier des rapports courts (4L). La conjugaison des 4 roues motrices et des rapports courts, permet alors de vous jouer de ce qui pourrait constituer un obstacle, surtout en charge.

Il faut bien dire que pour des professionnels, la tranquillité d’esprit quant à la certitude de ne pas perdre de temps à cause de conditions de circulation difficiles, tient également au système intelligent de Traction Control System (TCS). En effet, agissant sur les 4 roues quand elles sont enclenchées, ce contrôle électronique de la vitesse des roues intervient comme un différentiel à glissement limité et compense comme il convient l’adhérence précaire sur sol glissant.

 Avouez que cette certitude de ne pas avoir à se poser de question pour accéder à un chantier se trouvant en terrain difficile avec un Isuzu D max bien chargé n’a pas de prix.

Alain Monnot

Photos: Gilles Vitry , Stéphane Lecreux, Isuzu